Hells Bells recrute

Bonjour mes petits :)

HELLS BELLS RECRUTE !

NOM;

MOVITATION;

COMPETENCES;

EXEMPLE DE RP;

[b]EXEMPLE DE CREA;

EXEMPLE DE FORUM ADMINISTRE;

PRESENCE;

Code:: [b]NOM;[/b]
[b]MOVITATION;[/b]
[b]COMPETENCES;[/b]
[b]EXEMPLE DE RP;[/b]
[b][b]EXEMPLE DE CREA;[/b]
[b]EXEMPLE DE FORUM ADMINISTRE;[/b]
[b]PRESENCE;[/b]

NOM; Jonathan Hugo Warren Wink

MOTIVATION;

C'est un beau forum, à l'intrigue innovante et qui promet au succès ! Faut pas le laisser couler ! J'ai mon brevet de secouriste {xD}. Bref, plus sérieusement. C'est réellement un forum intéressant qu'il serait triste de laisser s'effacer dans un recoin d'internet. Après, je ne suis peut être pas un administrateur d'excellence. Vous le verrez dans la partie mes compétences. Mais j'ai du temps et je suis motivé, je pense que c'est le plus important. Je ne recherche pas le prestige, ça ne m'intéresse pas. Je préfèrerait même être modo afin de pouvoir apporter mon aide sans donner l'air de le faire pour devenir admin. Non merci.

COMPETENCES;

Je pense être un assez bon scénariste. En général, j'ai toujours pas mal d'idées que je sais appliquer selon les exigences de chacun. Je crois que je sais comment critiquer une fiche sans être trop violent, offensant ou vexant. J'ai quelques notions de CSS et d'HTML mais je dois avouer que le design' et moi, cela fait un certain nombre d'où le fait que j'hésite à répondre à cette proposition. Au niveau de mes faiblesses justement, c'est bien le graphisme.

EXEMPLE DE RP;

Spoiler:

« Evan, t'es crevé, fais pas l'idiot et rentre chez toi ! »

Le jeune homme, amère, fit face à son supérieur avec arrogance. Mais le lieutenant n'était que trop habitué à cette comédie et pointa un doigt inquisiteur vers le jeune homme. Il ne cèderait pas, quelques soit les jérémiade du professeur de lettre qui n'avait pas dormis depuis deux jours. Le café, le coca-cola zéro, le thé et les cachet de vitamine C n'étaient plus suffisant pour se substituer à une bonne nuit de sommeil. Dépité, le jeune homme finit par reconnaître la sagesse des ordres de son supérieur, qu'il maudit et bénit à la fois, avant de quitter le poste de police.

L'air de la ville était de ces soirs tardif, où le ciel dégagé de nuages laissait apparaître les beautés des étoiles à qui voulait lever la tête pour les observer. Une lune majestueuse illuminait le monde d'une pâle lumière inquiétante, aux allures maladives et incertaine malgré l'absence de danger célestes. Le tout donnait l'impression qu'un ultime rayon de l'astre d'or était encore présent pour continuer le combat du jour contre la nuit. Un combat éternel qui ne prendrait jamais fin.

Le léger vent frais apportait des odeurs mélangées. Le ciment et le béton des chantier de la fourmilière qu'était New-York, toujours en recherche de perfection et d'urbanisation poussée à son maximum ; La fumée putride des mégots de cigarettes mal écrasés, ou celle des milliards de pot d'échappement de tous les véhicules, qui venait agresser les poumons du jeune homme ; La senteur de la tension, de la violence, et des crimes perpétuels qui ne cessait jamais dans ce monde de brute ; et parfois, l'odeur apaisante qui restait des quelques gamins qui avaient passé une partie de leur après-midi à jouer dans un parc. Des odeurs au résultat indiscernable.

L'obscurité était quand même gagnante sur ce bas-monde. Si les sphères célestes brillaient de milles feux, les ombres savaient imposer leur impitoyables lois sur la Terre. Chaque recoin de rue était plongé dans d'obscure ténèbres que quelques phares ou feux de circulation tentaient vainement de dissiper. Mais on ne supprime pas le mal avec une lumière. On ne fait que l'éloigner un peu, le frustrer pour mieux qu'il revienne, plus machiavélique encore …

Evan donna un coup de pied dans un petit cailloux, dépité. Il aurait aimé, cette nuit, patrouiller dans les rues et ruelles de la ville. Donner un bon coup de pied aux fesses de toutes les vermines lâches et cupides qui trainaient dans les coins les plus puants de la cité. Il ne défoulait jamais sa rage sur eux, même s'il payerait cher pour. Mais il se sentait au moins utile, à protéger des pauvres gens, comme Edward l'avait protégé …

Non ! Non. Non … pourquoi lui … pourquoi avait-il fallut qu'il se souvienne … La fatigue peut être … cette baisse fulgurante d'énergie, de moral, d'espoir. Cette nuit dans le jour qu'est la vie. Cet appel invincible au repos, à l'apaisement de quelques heures, au rechargement. Mais tellement souvent peuplé d'images … de souvenirs terrifiants … de fantômes oppressants. Comment trouver la paix dans un repos plus épuisant que les jours eux-mêmes ?

Edward … Cet être exceptionnel qu'il n'était pas parvenu à sauver. Cet homme, car s'en était un, qui avait donné sa vie pour le sauver lui … Evan … un pauvre type sans avenir ! Un pauvre type qui avait écrit quelques bouquins, pour une célébrité à l'échelle de la ville qui commençait à fuir dans tout le pays. Sa mère avait fait mieux. Evan … un professeur de Français agrégé, un flic la nuit … rien de bien glorieux après tout … Edward … Edward aurait été merveilleux … Edward aurait été quelqu'un. Quelqu'un d'important … Quelqu'un de merveilleux … Que donnerait-il pour échanger leur vie !

Voilà, fatigué, épuisé, exténué, le jeune homme perdait ses armes, son mystère, l'attention toute particulière qu'il portait à lui-même, pour ne jamais rien trahir de ce qu'il ressentait. Et tandis qu'une vieille église ayant résisté aux assauts de l'urbanisation sonnait les Douze coups, la tristesse ressurgit sans prévenir … encore. Et des billes éclatèrent sur le sol, traçant une fine piste, suivant ses pas …

Il s'arrêta. Le débit était trop fort. Son corps était comme secoué de sursauts terribles. Il prit appuie d'un mur, ses mains au contact de la pierre sale et froide. Une boule se formait dans son ventre. Il se donna de violents coups, comme pour la faire disparaître. Il avait envie de hurler, mais ses vociférations se mourraient en hoquets sanglotants. Il tomba à genoux et posa son front sur la paroi glacée.

« Edward » Murmura-t-il, fatalement …

Mais il ne reviendrait pas. Il était partit, et il n'avait pas choisit. Il était mort … mort … et rien ni personne ne pourrait jamais le faire revivre. Voilà six longues années. Quatre-vingts-quatre mois de printemps léger mais sans goût, d'étés aux odeurs de vacances mais sans joie, d'automnes sereins mais désespérés et d'hivers douillets mais sans bonheur … Sa faible prière ne le retirait pas du royaumes des morts. Il ne réapparaitrait pas parmi les vivants.

Il succomba. Il se perdit dans un univers démoniaque, où les fantomes de son passé se plurent à le torturer, de nouveau, heureux qu'aucune caféine, qu'aucune vitamine, qu'aucune plante ne puisse l'empêcher d'être à leur merci.

On l'agitait dans tous les sens. Et quand il ouvrit les yeux, un homme était en train de le fouiller. Evan se releva furieusement, les larmes imprimées sur ses joues. Il n'eut qu'un regard à agresser à l'autre homme pour que celui-ci ne lui rende son porte-feuille avant de partir en courant à grandes enjambées. Evan ramassa son bien, plus épuisé que jamais, et constata qu'il avait passé la nuit dehors. Ce lundi matin allait être terriblement harassant.

Il sortit de l'ombre de l'impasse qui avait été sa chambre éphémère. Il se frotta, avec ce qu'il voulait être de la vigueur mais qui passait plus pour de la nonchalance, les joues, afin d'effacer toute trace de liquide lacrymal. Il se frottait les yeux, cherchant à stimuler la plus infime des parcelles d'énergie qu'il aurait omis d'employer dans sa lutte permanenta contre le sommeil.

Au loin, un bolide rouge produisait un vacarme infernal, un fou au volant.

Le jeune homme était plongé dans le noir, mais connaissait bien les ruelles. Il avait aucune idée de l'heure qu'il était, l'habitude et l'épuisement lui ayant fait oublier qu'une montre à son poignet lui montrait huit heures du matin. Il ne donnait pas de cours aujourd'hui.

La carcasse brillante de la voiture était floue, tant l'ivrogne qui la conduisait allait vite.

Sous les pieds du jeune homme, le sol perdit une dizaine de centimètres. Il était descendu du trottoir. Et sans même retirer les mains de ses yeux, il su qu'il avançait sur un passage piéton. Normal. Banal. Sans risque. Ce bruit agressif, était-ce les nouveaux travaux dont il avait vu le panneau hier soir ?

Plus que quelques mètres avant de neutraliser le flic …

Le bruit était proche, maintenant. Il serait peut être bon d'ouvrir les yeux. Tranquillement, le jeune homme s'exécuta. Quand il réalisa sa position, il su qu'il était trop tard ...

[b]EXEMPLE DE CREA;

Hells Bells recrute Zac5bis

EXEMPLE DE FORUM ADMINISTRE; http://doloris.1fr1.net/forum.htm

PRESENCE; Régulière

Merci Jo' de te proposer :)
Je pense aussi qu'une motivation et une présence est essenciel pour devenir admin, parce que oui, arrête de jouer les rabats-joies si on te prend, c'est dans l'équipe !
J'aime ton post, il est réellement bon, les descriptions, les sentiments sont vraiments bien exposé et ton écriture est bonne.
En ce qui concerne le graphisme...C'est vrai, ça aurait été un énorme plus, mais bon...Je vais pas te cacher que retrouver mon photoshop une fois de plus ne me dérange pas. Donc sur ce côté là, c'est pas la mort non plus.
J'aime beaucoup le forum que tu administres, en tout cas chapeau

J'essaye de contacter Rain pour qu'elle me donne son avis, mais le mien est déjà bien fixé.
ps: le contactage de Rain est difficile, si elle ne se connecte pas sur msn, donc si elle ne donne pas signe de vie, je te ferai signe sans elle, tempi, parce que j'ai de grands projets pour HB

Mais de rien, ravis de me proposer à rendre service !

Oui, le graphisme, à mon grand malheur ^^ J'avais photoFiltre dernièrement et je commençais à acquérir certains trucs mais je viens de passer à Photoshop et je dois dire que c'est déroutant ^^ Bref.

J'attendrai ce qu'il faut, ne vous en faites pas Wink

C'est bon jo'. Bienvenu dans l'équipe :D
Je peux te rentrer sur msn ? (beaucoup plus pratique)

Oh merci ! En espérant vous satisfaire au mieux !

Bien évidemment Wink